Songe4-d
Après la tempête. Atterrissage forcé sur un toit. Porte de la Villette. Paris. Quelques plumes en moins. Tête de coton. Je mâche des mots de mer de Chine, de gros sel et de sueur. Arrière-goût de poisson-chat aussi :
« Aussi, vous confier, Marquise, qu’avant de faire le pas vers le jardin, je fus envahi d’une grande panique, pétrifié par la grande peur de perdre pied devant tant de frissonnants chef-d’œuvres, je faillis rebrousser chemin, reprendre l’allée des cerisiers et…
"Avancez, Maître Zérène…
Approchez, que je vous présente ma Vie, ma Vénérable, ma Souveraine, mon irremplaçable Épouse…"
Je tente le pas. Votre Zérène tend le pied. Pas suspendu d’un papillon moucheté dans le jardin de Maître Luo Wang. »
Vidéo envoyée par frederiClement
Décidément, j'aime beaucoup les 3 parasols rose ! hi
Rédigé par : alys | 29 juin 2006 à 08:27
Heureuse de vous retouver avec un nouveau jouet, d'autres moyens de rêver, de plâner devrais-je dire si on se réfère à la musique qui illustre ce songe...
L'oeil s'est rouvert :)
Rédigé par : anitaa | 26 juin 2006 à 21:03